Margose: pour soigner le diabète type 2
Ce légume asiatique et indien, appelé vulgairement concombre amer, a une saveur affreuse qui en décourage la consommation sauf sous forme de gélule. On croit que la margose aide les cellules à utiliser le glucose grâce à l’insuline de la plante. On croit également qu’elle bloque l’absorption du glucose dans l’intestin. En 2007, des scientifiques philippins ont mené la première étude en double insu sur des patients atteints du diabète de type 2. Face aux autres patients à qui on avait donné des placebos, les patients qui ont pris de la margose trois fois par jour ont vu leur hémoglobine A1c baisser de 0,24 %.
Dose typique: 5 à 30 grammes trois fois par jour
Connu en Inde sous le nom de karela, le fruit encore vert entre dans la composition de nombreux mets traditionnels, notamment certaines sauces au cari. On le consomme également dans plusieurs autres pays asiatiques, de même qu'en Afrique et en Amérique du Sud. En Occident, on en trouve dans la plupart des boutiques d'aliments asiatiques.
Dans tous les pays où pousse la momordique, appelée aussi margose, les traditions médicinales lui attribuent des vertus aphrodisiaques. S’y ajoute une foule de propriétés pour contrer des maux comme les troubles gastro-intestinaux, les problèmes cutanés, les douleurs menstruelles, la dysenterie, la malaria, les vers, etc. Cependant, ce qui a le plus retenu l'attention des Occidentaux est sans contredit son utilisation traditionnelle pour réguler les taux de glucose sanguin chez les personnes diabétiques.
Des chercheurs de l'Université de Saint Louis, aux États-Unis,
ont découvert que «l'extrait de margose provoque de façon
significative la mort des cellules du cancer du sein, et réduit leur
croissance et leur propagation», déclare l'auteur principale de
l'étude, Ratna Ray. Celle-ci note toutefois que «la margose est
commune en Chine et en Inde, et les femmes y souffrent tout de
même de cancers du sein».
Selon Cathy Wong, médecin naturopathe, la margose est très
courante sur les marchés asiatiques, et largement utilisée dans la
cuisine indienne ou chinoise. On la trouve sous forme de légume, en
extrait liquide ou en capsules. Les effets secondaires, légers, peuvent
être des maux d'estomac ou de la diarrhée.
Cathy Wong ajoute: «La margose est utilisée principalement
contre le diabète de type 2, bien que des études soient nécessaires
pour prouver son efficacité». Et de mettre en garde les
consommateurs: «La margose peut faire baisser le taux d'insuline et
de sucre dans le sang, donc il ne faut pas l'associer à un traitement
contre le diabète.»
Les résultats des tests sur des patients diabétiques ont révélé
que le jus frais de margose entraînait une réduction significative de la
concentration du glucose plasmatique et une amélioration de la
réponse à une charge orale de glucose.
pour les femmes enceintes en raison justement de cette toxicité,
faculté de faire baisser le taux d'insuline et de sucre dans le sang, et
surtout si vous en consommez trop , c'est la diarrhée assurée, et des
crampes d'estomac.
C'est la dose qui fait le poison. consommé dans le cadre d'une
alimentation normale, en dose modérée, voilà un petit légume qui
lutte favorablement contre bien des problèmes de santé des femmes
européennes. Encore une fois, la prévention dans notre assiette est le
secret, je n'ai pas encore trouvé son légume jumeau dans notre
alimentation, si ce n'est la stévia et encore elle ne prévient pas
contre l'insuline et le diabète, mais elle permet juste de sucrer sans
trop se priver, et remplace aisément l'aspartame, elle vient d'être
autorisée en plus, c'est déjà un grand pas pour nous !(stevia j'en
avais posté un à ce sujet, car c'est une expérience alimentaire, en
poudre, elle n'a pas forcément tout le goût du sucre ... un peu comme
notre courge asiatique, c'est amer aussi ...).
Ce légume asiatique et indien, appelé vulgairement concombre amer, a une saveur affreuse qui en décourage la consommation sauf sous forme de gélule. On croit que la margose aide les cellules à utiliser le glucose grâce à l’insuline de la plante. On croit également qu’elle bloque l’absorption du glucose dans l’intestin. En 2007, des scientifiques philippins ont mené la première étude en double insu sur des patients atteints du diabète de type 2. Face aux autres patients à qui on avait donné des placebos, les patients qui ont pris de la margose trois fois par jour ont vu leur hémoglobine A1c baisser de 0,24 %.
Dose typique: 5 à 30 grammes trois fois par jour
Connu en Inde sous le nom de karela, le fruit encore vert entre dans la composition de nombreux mets traditionnels, notamment certaines sauces au cari. On le consomme également dans plusieurs autres pays asiatiques, de même qu'en Afrique et en Amérique du Sud. En Occident, on en trouve dans la plupart des boutiques d'aliments asiatiques.
Dans tous les pays où pousse la momordique, appelée aussi margose, les traditions médicinales lui attribuent des vertus aphrodisiaques. S’y ajoute une foule de propriétés pour contrer des maux comme les troubles gastro-intestinaux, les problèmes cutanés, les douleurs menstruelles, la dysenterie, la malaria, les vers, etc. Cependant, ce qui a le plus retenu l'attention des Occidentaux est sans contredit son utilisation traditionnelle pour réguler les taux de glucose sanguin chez les personnes diabétiques.
Des chercheurs de l'Université de Saint Louis, aux États-Unis,
ont découvert que «l'extrait de margose provoque de façon
significative la mort des cellules du cancer du sein, et réduit leur
croissance et leur propagation», déclare l'auteur principale de
l'étude, Ratna Ray. Celle-ci note toutefois que «la margose est
commune en Chine et en Inde, et les femmes y souffrent tout de
même de cancers du sein».
Selon Cathy Wong, médecin naturopathe, la margose est très
courante sur les marchés asiatiques, et largement utilisée dans la
cuisine indienne ou chinoise. On la trouve sous forme de légume, en
extrait liquide ou en capsules. Les effets secondaires, légers, peuvent
être des maux d'estomac ou de la diarrhée.
Cathy Wong ajoute: «La margose est utilisée principalement
contre le diabète de type 2, bien que des études soient nécessaires
pour prouver son efficacité». Et de mettre en garde les
consommateurs: «La margose peut faire baisser le taux d'insuline et
de sucre dans le sang, donc il ne faut pas l'associer à un traitement
contre le diabète.»
Les résultats des tests sur des patients diabétiques ont révélé
que le jus frais de margose entraînait une réduction significative de la
concentration du glucose plasmatique et une amélioration de la
réponse à une charge orale de glucose.
pour les femmes enceintes en raison justement de cette toxicité,
faculté de faire baisser le taux d'insuline et de sucre dans le sang, et
surtout si vous en consommez trop , c'est la diarrhée assurée, et des
crampes d'estomac.
C'est la dose qui fait le poison. consommé dans le cadre d'une
alimentation normale, en dose modérée, voilà un petit légume qui
lutte favorablement contre bien des problèmes de santé des femmes
européennes. Encore une fois, la prévention dans notre assiette est le
secret, je n'ai pas encore trouvé son légume jumeau dans notre
alimentation, si ce n'est la stévia et encore elle ne prévient pas
contre l'insuline et le diabète, mais elle permet juste de sucrer sans
trop se priver, et remplace aisément l'aspartame, elle vient d'être
autorisée en plus, c'est déjà un grand pas pour nous !(stevia j'en
avais posté un à ce sujet, car c'est une expérience alimentaire, en
poudre, elle n'a pas forcément tout le goût du sucre ... un peu comme
notre courge asiatique, c'est amer aussi ...).
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