Selon une étude d’intervention sur l’évolution du diabète (ADOPT : A Diabetes Outcome Progression Trial) dont les résultats ont été dévoilées lors du 19e Congrès Mondial de la Fédération Internationale du Diabète (FID), décembre 2006, un nouveau traitement du diabète de type 2 (la rosiglitazone) est plus efficace que les traitements couramment prescrits tels que la metformine (biguanide) ou le glibenclamide.
« L’étude ADOPT fournit la preuve que le traitement plus hâtif par la rosiglitazone dans la prise en charge du diabète de type 2 est pertinent. Il s’agit là de la première étude au long cours qui démontre que la perte progressive de l’équilibre glycémique peut être retardée et que les objectifs glycémiques peuvent être maintenus plus longtemps avec la rosiglitazone comparativement à la metformine et au glibenclamide – les deux antidiabétiques oraux les plus couramment prescrits », affirment les Drs Steven Kahn, professeur de médecine au VA Puget Sound Health Care System et à l’University of Washington School of Medicine, à Seattle, Washington, aux États-Unis, et Giancarlo Viberti, professeur de diabète et de médecine métabolique au King’s College London School of Medicine au Royaume-Uni.
« L’effet le plus durable sur la glycémie avec la rosiglitazone correspondait aussi à de nettes améliorations au niveau des anomalies principales de la maladie, y compris des effets significatifs sur l’insulinorésistance et la fonction des cellules ß. »
Dans l’étude ADOPT, seul ce nouveau traitement ciblait véritablement l’insulinorésistance et le dysfonctionnement des cellules β – deux anomalies fondamentales dans le diabète de type 2. En ciblant ces deux anomalies caractéristiques, il devient dès lors plus facile de maîtriser la maladie et d’éviter qu’elle n’évolue vers des complications plus graves.
« Les résultats de l’étude ADOPT auront des répercussions très importantes sur les patients atteints du diabète de type 2, principalement ceux qui en ont récemment reçu le diagnostic », explique le Dr Bernard Zinman, endocrinologue canadien et membre du comité directeur de l’étude ADOPT. « Ces résultats aideront les médecins à choisir les meilleurs traitements qui soient pour prendre en charge leurs patients plus rapidement et du même coup à prévenir les complications à long terme liées au diabète. »
« Nous savons maintenant que le diabète de type 2 est une maladie évolutive. Nous savons également qu’il importe de prendre en charge cette maladie de façon énergique au moyen de traitements efficaces en plus d’apporter des modifications du mode de vie dont l’activité physique régulière et les mesures diététiques. Malheureusement, les modifications du mode de vie à elles seules ne suffisent pas. Afin d’atteindre et de maintenir une maîtrise optimale du diabète, les patients ont besoin d’une pharmacothérapie efficace et hâtive pour réduire les complications dévastatrices à long terme du diabète de type 2 », ajoute le Dr Zinman.
L’étude ADOPT a mesuré la durabilité à long terme de trois traitements couramment prescrits dans les premiers stades du diabète de type 2. L’étude consistait à découvrir si un traitement était efficace plus longtemps qu’un autre. Selon les résultats, ce nouveau traitement serait la meilleure stratégie pour atteindre et maintenir une maîtrise de la maladie chez les patients atteints d’un diabète de type 2. Ces renseignements fourniront d’importantes preuves concernant la prise de décision clinique chez les personnes qui ont récemment reçu un diagnostic de diabète de type 2.
L’étude ADOPT appuie les résultats d’une autre étude appelée DREAM (étude sur la prévention du diabète de type 2 diffusée récemment) qui démontraient que ce nouveau traitement peut retarder le développement d’un diabète de type 2 et prouve clairement qu’il devrait constituer pour les médecins et les patients un traitement utile pour lutter contre l’épidémie croissante de diabète et modifier à long terme la santé des patients.
« L’étude ADOPT fournit la preuve que le traitement plus hâtif par la rosiglitazone dans la prise en charge du diabète de type 2 est pertinent. Il s’agit là de la première étude au long cours qui démontre que la perte progressive de l’équilibre glycémique peut être retardée et que les objectifs glycémiques peuvent être maintenus plus longtemps avec la rosiglitazone comparativement à la metformine et au glibenclamide – les deux antidiabétiques oraux les plus couramment prescrits », affirment les Drs Steven Kahn, professeur de médecine au VA Puget Sound Health Care System et à l’University of Washington School of Medicine, à Seattle, Washington, aux États-Unis, et Giancarlo Viberti, professeur de diabète et de médecine métabolique au King’s College London School of Medicine au Royaume-Uni.
« L’effet le plus durable sur la glycémie avec la rosiglitazone correspondait aussi à de nettes améliorations au niveau des anomalies principales de la maladie, y compris des effets significatifs sur l’insulinorésistance et la fonction des cellules ß. »
Dans l’étude ADOPT, seul ce nouveau traitement ciblait véritablement l’insulinorésistance et le dysfonctionnement des cellules β – deux anomalies fondamentales dans le diabète de type 2. En ciblant ces deux anomalies caractéristiques, il devient dès lors plus facile de maîtriser la maladie et d’éviter qu’elle n’évolue vers des complications plus graves.
« Les résultats de l’étude ADOPT auront des répercussions très importantes sur les patients atteints du diabète de type 2, principalement ceux qui en ont récemment reçu le diagnostic », explique le Dr Bernard Zinman, endocrinologue canadien et membre du comité directeur de l’étude ADOPT. « Ces résultats aideront les médecins à choisir les meilleurs traitements qui soient pour prendre en charge leurs patients plus rapidement et du même coup à prévenir les complications à long terme liées au diabète. »
« Nous savons maintenant que le diabète de type 2 est une maladie évolutive. Nous savons également qu’il importe de prendre en charge cette maladie de façon énergique au moyen de traitements efficaces en plus d’apporter des modifications du mode de vie dont l’activité physique régulière et les mesures diététiques. Malheureusement, les modifications du mode de vie à elles seules ne suffisent pas. Afin d’atteindre et de maintenir une maîtrise optimale du diabète, les patients ont besoin d’une pharmacothérapie efficace et hâtive pour réduire les complications dévastatrices à long terme du diabète de type 2 », ajoute le Dr Zinman.
L’étude ADOPT a mesuré la durabilité à long terme de trois traitements couramment prescrits dans les premiers stades du diabète de type 2. L’étude consistait à découvrir si un traitement était efficace plus longtemps qu’un autre. Selon les résultats, ce nouveau traitement serait la meilleure stratégie pour atteindre et maintenir une maîtrise de la maladie chez les patients atteints d’un diabète de type 2. Ces renseignements fourniront d’importantes preuves concernant la prise de décision clinique chez les personnes qui ont récemment reçu un diagnostic de diabète de type 2.
L’étude ADOPT appuie les résultats d’une autre étude appelée DREAM (étude sur la prévention du diabète de type 2 diffusée récemment) qui démontraient que ce nouveau traitement peut retarder le développement d’un diabète de type 2 et prouve clairement qu’il devrait constituer pour les médecins et les patients un traitement utile pour lutter contre l’épidémie croissante de diabète et modifier à long terme la santé des patients.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire